Mister Arkadin

Articles avec #critique - actualite

LIBRE JOURNAL DU CINÉMA DU 8 FÉVRIER 2024 : VOYAGE AVEC PASCAL THOMAS

7 Février 2024, 13:44pm

Publié par Mister Arkadin

Le "Libre journal du cinéma" (LJC) de ce jeudi 8 février 2024, à partir de midi, reçoit le cinéaste et ancien journaliste Pascal Thomas.

Pour évoquer avec lui à la fois sa carrière, son dernier film (Le Voyage en pyjama, sorti le 17 janvier 2024) et ses mémoires (Souvenirs en pagaille, « Anecdotes recueillis bien malgré lui par Alain Kruger & Jean Ollé-Laprune », sorti chez Séguier en janvier 2024), seront présents :

- Nicolas Gauthier (journaliste, notamment à Boulevard Voltaire, et critique de cinéma, à Éléments) ;

- Arnaud Guyot-Jeannin, journaliste (Boulevard Voltaire, Éléments, Livr’Arbitres, Politique Magazine) et essayiste (auteur, entre autres, des Visages du Cinéma. 35 portraits non-conformistes, chez Xénia en 2012, et de La Tradition sans complexe. Abécédaire et textes de l’Antimodernité, à La Nouvelle Librairie, en 2023), patron d’émission à Radio Courtoisie.

Seront peut-être aussi évoquées quelques publications récentes, notamment le n°44 de Livr’Arbitres (décembre 2023).

---

Émission suivante : jeudi 7 mars 2024.

Voir les commentaires

LIBRE JOURNAL DU CINÉMA DU 6 AVRIL 2023 : AURORA CORNU ; ACTUALITÉS

5 Avril 2023, 17:18pm

Publié par Mister Arkadin

Le "Libre journal du cinéma" (LJC) de ce jeudi 6 avril, à partir de midi, sera consacré au livre Aurora Cornu (préface d’Amélie Nothomb, Saint-Chréron, Editions Unicité, 2022), avec :

son auteur, Pierre Cormary, blogueur ("Soleil et croix"), essayiste (Causeur, La Revue des deux mondes) « Journal d’Aurora »

Hugues Moreau, archiviste et écrivain, auteur de Dans le jardin de mon père. Jeanne d’Arc mystique et théologienne (Saint-Léger Éditions, 2021) et de Le Paradis Français d’Eric Rohmer (Editions Pierre-Guillaume de Roux, 2017)

Florin Popesco, chroniqueur cinématographique, qui commentera aussi le programme de la Cinémathèque française

Seront probablement aussi évoqués :

- quelques films sortis en 2023 : Pacifiction (Albert Serra), Babylon (Damien Chazelle), Tàr (Todd Field), The Fabelmans (Steven Spielberg) ; Sur les chemins noirs (Denis Imbert)

- des publications :

- Livr’Arbitres (n°41, mars 2023), comprenant un entretien avec Michel Marmin

- revue de presse.

 

Voir les commentaires

LIBRE JOURNAL DU CINÉMA DU 25 AOÛT 2022 : LE « CENTENAIRE DE MICHELINE PRESLE » ET « LE CINÉMA TRÈS FRANÇAIS DE JEAN BECKER »

26 Août 2022, 08:55am

Publié par Mister Arkadin

Au "Libre journal du cinéma" (LJC) du jeudi 25 août 2022, a été rendu hommage à la comédienne Micheline Presle, à l’occasion de son centenaire, et au cinéaste Jean Becker, à l’occasion de la sortie en salles des Volets verts, film inspiré [1] d’un roman de Georges Simenon [2], avec :

---

Prochaine émission : 22 septembre 2022

---

Notes :

[1] C’est le terme employé au générique de fin pour qualifier l’adaptation écrite par Jean-Loup Dabadie ; l’exemple le plus fameux d’adaptation cinématographique telle que décrite dans l’émission demeure bien entendu Les Miséroïdes.

[2] Au sein d’une distribution étincelante, brille particulièrement Fanny Ardant, à laquelle l’invité du LJC du 30 juin 2022, Pascal Louvrier, consacre une biographie paraissant très prochainement aux éditions Tohu-Bohu.

[3] On pourra aussi le réentendre sur Courtoisie dès le lundi 29 août 2022 (de 19h 40 à 21h) dans une émission qu’il dirigera sur «  Eric Rohmer, Un cinéaste de l’âme française » , avec Marie-Noëlle Tranchant (Journaliste «  Cinéma » durant 35 ans au Figaro, et aujourd'hui à Radio Notre Dame), Hugues Moreau (directeur de l’ouvrage collectif Le Paradis français d’Éric Rohmer, Ed. Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Pierre Cormary (blogueur, collaborateur de cet ouvrage collectif) et l’abbé Guillaume de Tanoüarn (directeur de Monde et vie, auteur de Parier avec Pascal, avec en appendice le texte « Eric Rohmer à l’heure du Pari », Le Cerf, 2012).

[4] Dans le n°37 (mars 2022), une coquille attribue à Antoine Katerji un entretien mené par Guillaume Narguet avec le cofondateur du LJC, Philippe d’Hugues (« Le cinéma mourra d’une surabonde d’images »).

[5] Une autre comédienne, amie d’enfance de Micheline Presle, a été évoquée relativement longuement dans l’émission, Corinne Luchaire, sur laquelle on lira l’édition revue et augmentée de Corinne Luchaire. Un colibri dans la tempête (par Carole Wrona, avec une préface de Pierre Barillet, aux éditions du 81, juin 2022).

 

Voir les commentaires

LIBRE JOURNAL DU CINÉMA DU 28 JUILLET 2022 : LE MAC-MAHONISME, DE LA LÉGENDE A L'HISTOIRE

26 Juillet 2022, 15:56pm

Publié par Mister Arkadin

 

Au programme du "Libre journal du cinéma" de ce 28 juillet 2022, histoire d'un mouvement cinéphilique, le mac-mahonisme, avec :

  • le critique et historien du cinéma Antoine Katerji (membre de la rédaction de la revue Livr'Arbitres ; auteur de "Bazin, Mourlet : convergence et oppositions", annexe au livre de Michel Mourlet L'Ecran éblouissant. Voyages en Cinéphilie 1958-2010, Presses Universitaires de France, février 2011).

Avec également une chronique de Florin Popesco, sur Dédales, film roumain de Bogdan George Apetri sorti en salles le 20 juillet 2022.

 

Voir les commentaires

LIBRE JOURNAL DU CINÉMA, 13 JANVIER 2022 : BILAN DE L’ANNEE CINEMATOGRAPHIQUE 2021

14 Janvier 2022, 14:39pm

Publié par Mister Arkadin

Un quatuor de journalistes a discuté des films les plus remarquables de 2021 au "Libre journal du cinéma" du jeudi 13 janvier 2022 (enregistrement).

Voici les choix de chacun d’entre eux :

  • Laurent Dandrieu, critique à l’hebdomadaire Valeurs actuelles (dont il est le rédacteur en chef Culture), auteur de deux livres sur le cinéma présenté au "Libre journal du cinéma" (Woody Allen, portrait d'un antimoderne, Paris, CNRS, 2010, LJC du 17 juin 2010 ; Dictionnaire passionné du cinéma : 6000 films à voir ou à fuir, Paris, L'Homme nouveau, 2013, LJC du 23 janvier 2014) et de La Confrérie des intranquilles (Paris, Éditions L'Homme nouveau, 2020 ; prix d’Académie 2021 de l’Académie française), chroniqueur à RMC :
    Aline ; Chers Camarades ; Les Deux Alfred ; Julie en 12 chapitres ; Le Peuple loup
  • Marc Obregon, critique à L’Incorrect, écrivain (Contre les enfants du millénaire : Chroniques d’une perpétuelle, Lyon, Éditions Nouvelle Marge, 2019 ; L’Orbe, Nancy, Editions Verbe haut, 2022) :
    West Side Story ; The Card Counter ; Le Peuple loup ; Annette ; Chers Camarades
  • Richard de Sèze, critique au bimensuel Monde et Vie, rédacteur en chef de Politique Magazine :
    Dune ; La Mission ; Old ; Un endroit comme un autre
  • Arthur de Watrigant, critique et directeur adjoint de la rédaction du magazine L’Incorrect, chroniqueur à Cnews :
    Annette ; Bac Nord ; Chers Camarades ; Les Deux Alfred ; Illusions perdues ; Les Intranquilles ; La Main de Dieu ; La Mission ; Onoda ; Slalom

Les miens : Un héros ; Les Deux Alfred ; A l’abordage ; Le Sommet des Dieux ; La Loi de Téhéran ; La Nuée

A également été évoqué un film sorti début 2022 :
Licorice Pizza, de Paul Thomas Anderson.

Ainsi que les disparitions de Peter Bogdanovic, Sidney Poitier, Jean-François Stévenin et Lina Wertmüller.

---

Prochaine émission : jeudi 10 février 2022.

Voir les commentaires

LIBRE JOURNAL DU CINÉMA, 13 JANVIER 2022 : « BILAN 2021 – ACTUALITÉ DES FILMS »

12 Janvier 2022, 17:00pm

Publié par Mister Arkadin

Table ronde critique au "Libre journal du cinéma" du jeudi 13 janvier 2022
avec un quatuor de journalistes :

  • Hubert Champrun, critique à Monde et Vie
  • Laurent Dandrieu, critique à Valeurs actuelles (dont il est le rédacteur en chef Culture), auteur de deux livres sur le cinéma présenté au "Libre journal du cinéma" (Woody Allen, portrait d'un antimoderne, Paris, CNRS, , LJC du 17 juin 2010 ; Dictionnaire passionné du cinéma : 6000 films à voir ou à fuir, Paris, L'Homme nouveau, , LJC du 23 janvier 2014) et de La Confrérie des intranquilles (Paris, Éditions L'Homme nouveau, 2020 ; prix d’Académie 2021 de l’Académie française)
  • Marc Obregon, critique à L’Incorrect, écrivain (Contre les enfants du millénaire : Chroniques d’une perpétuelle, Lyon, Éditions Nouvelle Marge, 2019)
  • Arthur de Watrigant, critique et directeur adjoint de la rédaction de L’Incorrect

 

Voir les commentaires

UNE PLACE A PRENDRE...

19 Juillet 2014, 23:39pm

Publié par Mister Arkadin

... à Télérama, où Aurélien Ferenczi décrète, dans son compte rendu du film Fastlife (TRA, n°3366, 16 juillet 2014, p.45), que le cinéma français n'est pas assez ouvert et trop blanc (1). Comme la critique semble l'être encore beaucoup moins que l'interprétariat (2), nul doute qu'il s'agit d'un appel à un petit remplacement de sa grande personne. Aurélien Ferenczi est en effet aussi logique qu'Elisabeth Lévy. Celle-ci dit en gros : que ceux qui affirment qu'il n'y a pas assez de "Diversité" dans les médias, pas assez de Noirs, d'Arabes et d'Asiatiques surtout, nous disent de quoi il y a de trop. Aurélien Ferenczi se sent manifestement mal à l'aise d'être en trop : cela va mieux en le disant.


Notes :

(1) « Thomas Ngijol a le potentiel pour n'être pas qu'un acteur comique. Encore faudrait-il que le cinéma français soit plus ouvert et moins... blanc. »

(2) Par définition, la couleur d'un journaliste est, sauf dans l'audiovisuel, beaucoup moins aisée à connaître que celle d'un acteur, et même d'un réalisateur - pour autant que l'on en ait quoi que ce soit à faire (pour Steve McQueen, peut-être, afin de vérifier que l'acteur est bien mort). Cependant, pour ma part, je ne connais guère que Michaël Mélinard comme journaliste noir s'occupant de cinéma. Il officie dans l'un des hebdomadaires que je lis le plus régulièrement, L'Humanité Dimanche, et au Cercle de Canal +.

http://s.tf1.fr/mmdia/i/65/3/michael-melinard-11012653faene.jpg?v=1

D'autres journaux donnent des leçons qu'ils n'appliquent pas eux mêmes en la matière, comme nous l'avions vu ici.

Plus généralement, j'ai traité de ces absurdes questions de "Diversité" .


Compléments :

(14 août 2014) Et la couleur d'un blogueur de cinéma, importe-t-elle ? Voici qu'à cause des délires d'Aurélien Ferenczi, me frappe l'aspect physique de mon confrère Sidy Sakho.

http://3.bp.blogspot.com/-HoRBExiapyc/T_pX28CEzjI/AAAAAAAAAH0/wYnypPjiCsI/s1600/garden.jpg

(20 juillet 2019) Aurélien Ferenczi vient d'être débarqué de l'hebdomadaire nielo-pigassien suite à des accusations de harcèlement sexuel et moral (qu'il conteste). S'il est innocent, bon courage à lui. Sinon, alea jacta est.

Voir les commentaires

"...DÉBARRASSÉS DE TOUT SOUCI DE PROMOTION"

7 Novembre 2011, 14:35pm

Publié par Mister Arkadin

http://www.festival-lumiere.org/data/photo/3118.jpgDans un très judicieux éditorial sur la pratique de l'entretien dans la presse cinématographique, notamment dans ses rapports avec la publicité et la critique (thème récurrent, encore plus ancien que l'article fameux « La publicité, la presse », publié par Jean George Auriol, sous le nom d'Amable Jeanson, dans La Revue du cinéma du 1er juillet 1930, « La vie des films. 5 »), Yann Tobin prétend que « les entretiens inclus dans le dossier Jacques Becker » seraient « débarrassés de tout souci de promotion » (Positif, n°608, octobre 2011). Nulle raison de mettre en doute sa bonne foi, quoiqu'elle sonne comme une dénégation. Ce n'est pas parce qu'une page de publicité (la 59) pour le "Grand Lyon Film Festival" d'octobre 2011 (admirons le bel anglicisme) précède le copieux et riche dossier Becker accompagnant la rétrospective que ce festival lui consacre qu'un accord aurait été conclu entre l'Institut Lumière et la revue pour que celle-ci fasse la promotion de celui-ci, à tout le moins indirectement.  D'abord parce qu'il n'est pas illégitime, actualité ou non, de s'intéresser longuement à un bon cinéaste comme Becker (de là à en faire l'égal des plus grands et à le désigner comme "le Patron"... qui pense sérieusement qu'il pourrait détrôner Renoir, auquel l'expression était jusqu'à présent révervée ?), quoique l'insistance avec laquelle l'introduction rappelle que la bibliographie Becker n'est pas très abondante sonne là aussi un peu comme une dénégation (la réalisation de ce dossier n'était certes pas superflue, mais pas non plus de l'urgence la plus impérative). Ensuite parce que, même sans parution dudit dossier, l'Institut Lumière aurait sans doute tout de même publié une page pour son festival dans Positif (qui n'accueille plus que des pages de pub relatives au cinéma, ce qui est un bon point à relever) (1). Toutes ces précautions étant prises, le choix de  Positif d'être depuis peu éditée par l'Institut Lumière (qui s'occupe en particulier de la "Publicité"...) et Actes Sud (l'éditeur des bouquins publiés par l'institut lyonnais) (C5) ne manquera pas de faire constamment peser la suspicion désormais. Certes, Positif ne va pas subitement se mettre à descendre les films de Bertrand Tavernier, alors qu'elle les a toujours défendus, parfois même à juste titre ; elle ne va se mettre à ne plus rendre compte du festival de Cannes, parce que le directeur de l'Institut-Lumière en est également délégué général (en plus d'être l'auteur d'un mémoire d'histoire sur la revue et fréquemment l'auteur de comptes rendus très légèrement complaisants pour les publications de Positif ou celles qui lui sont consacrées) (C3). Elle ne va pas non plus se mettre à faire l'éloge de la programmation au cours des années 2000 de la Quinzaine des réalisateurs. Mais voir celle-ci une nouvelle fois épinglée dans le même numéro d'octobre (page 61), afin de mieux saluer le choix du nouveau programmateur (Edouard Waintrop, critique et cinéphile on ne peut plus estimable, bon blogueur au demeureant) (2) (C2), pourrait faire naître quelques doutes (C4) : dans quelle mesure cette revue pourra-t-elle persister à se prétendre indépendante ? Toutefois, il va de soi que toute suspicion de quelque sorte que ce soit est nulle et non avenue, le directeur de Positif étant, tout le monde le sait (et pour ceux qui ne le sauraient pas, il le proclame suffisamment), un contempteur on ne peut plus convaincant de tout copinage.

http://farm8.staticflickr.com/7079/7364917964_59cded8c32_b.jpg


Notes :

(1) Un bon point pour le confort de lecture s'entend, vu qu'il est plus agréable, en feuilletant une revue de cinéma, de tomber sur une page de pub pour une collection de DVD ou la reprise d'un film au Quartier latin que pour le dernier modèle de telle marque automobile (et quand ........ ........., c'était carrément désagréable). Mais, en ce qui concerne l'indépendance de la rédaction, il va de soi que cela se discute.

(2) La preuve qu'il s'agit d'un connaisseur, il rappelle, dans son hommage à Paulette Dubost, que l'un de premiers films de celle-ci fut Le Martyre de l'obèse, l'adaptation du livre de Henri Béraud par Pierre Chenal.


Compléments :

(C1) (31 janvier 2012) « Dans les années 50, le cinéma passa massivement à la couleur. C'est au début de cette décennie que naquit Positif. Pendant les soicante années qui ont suivi, notre revue a fait de nécessité vertu. Pour maintenir notre indépendance, faute de moyens, nous avons conservé le noir et blanc qui est devenu notre identité, une marque de distinction [...]. [...] nos nouveaux éditeurs, Actes Sud et l'Institut Lumière, nous permettent maintenant de réaliser un rêve. Vous avez entre les mains notre premier numéro où les illustrations qui accompagnent les films en couleur reflètent le chatoiement de l'original » (Positif, n°611, janvier 2012, p.1, éditorial, « Positif prend des couleurs » ; c'est moi qui ajoute du noir - seuls les mauvais esprits y verront la couleur du deuil, d'une "identité" et d'une "indépendance").

(C2) (5 février 2012) Lucien Logette, dans sa nécrologie de Mila Parély (Jeune cinéma, n°342/343, décembre 2011 - janvier 2012, p.143), rappelle qu'elle aussi jouait, pour ses débuts au cinéma, dans Le Martyre de l'obèse, film décidément à redécouvrir.

(C3) Gentil coup de chapeau du directeur de Positif à son éditeur dans le n°612 (février 2012, « Bloc-notes : décembre en cinéma », p.52) : « Le conseil d'administration du festival de Cannes reconduit Gilles Jacob dans ses fonctions de président pour trois ans, jusqu'en juillet 2014. Thierry Frémaux, délégué général, voit ses responsabilités accrues (décisions de recrutement, nouvelles orientations, engagements financiers...). Pour la plus grande manifestation du monde, on ne change pas une équipe qui gagne. »

(C4) Des doutes qui surgiront dès qu'un éloge d'un ouvrage publié par l'Institut Lumière et Actes Sud paraîtra très appuyé, même justifié, tel ce paragraphe introductif du compte rendu de La parade est passée... par Jean-Pierre Berthomé : « Si vous ne devez posséder qu'un seul livre sur l'histoire du cinéma muet américain, c'est celui-ci » (Positif, n°612, février 2012, p.67).

(C5) (11 juin 2012) La posture d'éditeur "indépendant" est contestée dans un livre publié récemment par le co-fondateur des éditions Agone (Thierry Discepolo), La Trahison des éditeurs.

Voir les commentaires

1 2 3 4 > >>