Mister Arkadin

CINÉMA ET RADIO : SEMAINE DU 4 SEPTEMBRE 2010

3 Septembre 2010, 23:17pm

Publié par Mister Arkadin

 

Rattrapages :

« Matins d’été » (Florian Delorme), France Culture, vendredi 27 août 2010, de 7h00 à 9h00 : Claire Denis (cinéaste)

« La jeunesse, tu l’aimes ou tu la quittes » (Joy Sorman), vendredi 27 août 2010, de 11h05 à 12h00 - Podcast : Marina Foïs (actrice)

« Libre journal des Lycéens » (Romain Lecap), Radio Courtoisie, samedi 28 août 2010, de 12h00 à 13h30 : « Coups de cœur et coups de gueule de la rentrée », avec Xavier Delaunay présenté par Arnaud Naudin et Aymeric Garibaldi, conseillant La Journée de la jupe et Le Bruit des glaçons

Hommages à Alain Corneau : RTL (30 août 2010 ; Gérard Depardieu, Frédéric Mitterrand, Alain Chabat, Claude Lelouch, Jacques Dutronc ; avec également une nécrologie de Sébastien Boudsocq, des propos d’Alain Corneau en 1997 et un extrait de son film Tous les matins du monde) ; Europe 1 (30 août 2010) ; « Rendez-vous » (Laurent Goumarre, France Culture, 31 août 2010, avec François Guérif, Pierre William Glenn)

« Rendez-vous » (Laurent Goumarre), France Culture, lundi 30 août 2010, de 19h15 à 20h00 : Apichatpong Weerasethakul (cinéaste), pour la sortie de son film Oncle Boonmee celui qui se souvient de ses vies antérieures

« La chronique de Laurent Gerra », RTL, mardi 25, mercredi 26 mai 2010, de 8h50 à 9h00 : « Spécial Cinéma », avec Roman Polanski, qui a peur de l’expulsion des Roms (« pas les Roman !), Carla Bruni, actrice pour Woody Allen, Jean-Luc Godard tournant un remake du Mépris avec le couple présidentielle rejouant la fameuse scène « Tu vois mon derrière dans la glace ? » et Jeanne Moreau chantant Je t’aime, moi non plus avec Etienne Daho

« Le 5/7 Boulevard » (Philippe Collin), France Inter, lundi 30 et mardi 31 août, vendredi 3 septembre 2010, de 17h00 à 19h00 : Fabrice Luchini (comédien) ; Zabou Breitman (actrice et réalisatrice) ; Bernard Eisenschitz (historien du cinéma)

« Le grand entretien » (François Busnel), France Inter, lundi 30 et mardi 31 août, vendredi 3 septembre 2010, de 17h10 à 17h45 : Fabrice Luchini (comédien) ; Zabou Breitman (actrice et réalisatrice) ; Thierry Lhermitte (comédien)

« Libre journal de la nuit » (Paul-Marie Couteaux), Radio Courtoisie, mercredi 1er septembre 2010, de 21h30 à 23h00 : « Un film sur l'assassinat des moines de Tibhirine », à propos du film Des hommes et des dieux, avec Benoît Gousseau (rédacteur en chef de Politique magazine)

« Hors-Champs » (Laure Adler), France Culture, mercredi 1er septembre 2010, de 22h10 à 23h00 : Catherine Breillat (écrivain et cinéaste)

« RTL Soir » (Christophe Hondelatte), RTL, vendredi 3 septembre 2010, à 18h00 : Michel Bouquet (comédien)


Émissions radiophoniques sur le cinéma de la semaine en cours :

« Le journal inattendu » (C.Decroix), RTL, samedi 4 septembre 2009, de 12h30 à 13h30 : Emmanuelle Béart (actrice), en direct de Deauville

« Affinités électives » (Francesca Isidori), France Culture, samedi 4 septembre 2010, de 22h10 à 23h00 : Jean Narboni (critique, théoricien et historien du cinéma)

« Fictions / Théâtre & Cie » (Ch.Bernard-Sugy), dimanche 5 septembre 2010, de 20h52 à 22h : « Bel-Ami d’après Guy de Maupassant » (adaptation de Louis Daquin, Vladimir Pozner et Roger Vailland ; dialogues de Vladimir Pozner et Roger Vailland), adaptation radiophonique du scénario par Philippe Garbit

« Les auditeurs ont la parole » (S. Gallet), RCF, lundi 6 septembre 2010, à 9h30 : « Tibhirine : Des hommes et des dieux, le film de Xavier Beauvois »

« RTL Soir » (Christophe Hondelatte), RTL, mardi 7 septembre 2010, à 18h00 : Lambert Wilson (comédien)

« Des mille et des cents » (Martine Lecoq), Fréquence protestante, lundi 6 septembre 2010, à 20h50 : « 8 septembre 2010, naissance de Jean-Louis Barrault »

« Tout arrive » (Arnaud Laporte, « Le magazine de l'actualité culturelle »), France Culture, jeudi 7 septembre 2010, de 12h50 à 13h30 : Xavier Beauvois (réalisateur) et Michael Londasle (comédien), pour leur film Des hommes et des dieux

« Médiagora » (Claude Carrez), RCF, vendredi 8 septembre 2010, de 21h00 à 21h55 - Rediffusion le dimanche à 3h00 : Des hommes et des dieux


Rediffusions :

« Ciné-Club », « Les nuits » de France Culture », du samedi 4 au dimanche 5 septembre 2010, de 1h50 à 3h20 : « Les salles d’art et d’essai » (Ruth Stégassy, 1997)

http://imagecache5.art.com/p/LRG/27/2762/QVETD00Z/al-fenn-orson-welles-directs-around-the-world.jpg

« Mardis du cinéma », « Les nuits » de France Culture », du dimanche 5 au lundi 6 septembre 2010, de 3h35 à 5h05 : « Orson Welles » (Jean Daive, 1995)

« A voix nue » (Alexandre Breton), France Culture, du lundi 6 au vendredi 10 septembre 2010, de 20h00 à 20h30 – Rediffusion d’une série d’octobre 2007 (Sophie Nauleau) : Alain Corneau (cinéaste)


Compléments et rappels :

- Grille des émissions de radio spécifiquement consacrées au cinéma

- Liste des émissions récentes de France Info sur le cinéma

- Liste des invités des émissions de radio d’information sur le site "Zapping du paf"

- Le fil d’information relatif au cinéma de l’AFP

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UNE IDÉE PAR PLAN OU PAR FILM ?

30 Août 2010, 23:31pm

Publié par Mister Arkadin

Comme l'on ne prête qu'aux riches, un petite recherche sur Internet laisse à penser que Truffaut serait l'inventeur de la formule "une idée par plan", devenue une sorte d'idéal de la mise en scène cinématographique. Dans le Bruit des glaçons, Bertrand Blier se fait l'adepte d'un principe encore plus radical : "une idée par film", qu'il applique dès le premier plan. Hélas, le film en comporte beaucoup d'autres (des plans, s'entend...).http://images.allocine.fr/r_760_x/medias/nmedia/18/78/33/84/19470884.jpg

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HASARD OU COÏNCIDENCES

29 Août 2010, 23:05pm

Publié par Mister Arkadin

http://photo.parismatch.com/media/photos2/actu/monde/sakineh-mohammadi-ashtiani3/1957044-1-fre-FR/Sakineh-Mohammadi-Ashtiani_articlephoto.jpg

(Sakineh Mohammadi-Asthtiani)

 

http://blogs.journalism.co.uk/editors/wp-content/uploads/2010/07/time_afghan.jpg

(Aisha)

 

http://www.merkur-online.de/bilder/2009/06/23/369680/468080180-neda-agha-soltan.9.jpg

(Neda Agha Soltan)

 

Quel est le point commun de ces trois personnes ? D'être l'objet d'une intense mobilisation des médias occidentaux contre les forfaits de l'islamo-fascisme cher à Bernard-Henri Lévy et à Libération. Un deuxième : être de ravissantes jeunes femmes. Hasard sans doute, que ce ne soit pas  pour de vieilles et moches à grosses lunettes que l'on sollicite notre compassion.

 

Ceci dit, l'actrice des Chats persans obligée de s'exiler par la faute des Mollahs iraniens portait dans le film de grosses lunettes. Autant pour moi. Elle était cependant aussi plutôt jolie.

 

http://www.leschatspersans-lefilm.com/images/fond.jpg

 


Le Figaro magazine, n°122, 22 janvier 2011 :

http://1.bp.blogspot.com/_kIQuV3rY60w/TTrY0J-HhyI/AAAAAAAABGA/euQVbE6_Y2s/s1600/LeFigaMAG.jpg

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CINÉMA ET RADIO : SEMAINE DU 29 AOÛT 2010

28 Août 2010, 23:15pm

Publié par Mister Arkadin

 

Émissions de l’été consacrées au cinéma :

« Afriques : des cinéastes dans l’indépendance » (Simone Douek), France Culture, samedis, de 12h00 à 12h30 - à partir du samedi 31 juillet 2010 : « Angola : Zézé Gamboa, réalisateur de Dissidence (documentaire, 1998), O Heroi (fiction, 2004) », le 28 août (rediffusion à 4h27)

« La Master Class » (Pascal Mérigeau ; enregistrée au Forum des images), France Culture, samedis, de 13h30 à 14h30, à partir du samedi 31 juillet 2010 : Bertrand Tavernier (ancien attaché de presse et critique de cinéma, cinéaste et historien du cinéma), le 28 août 2010 (rediffusion à 23h57)

« Mardis du cinéma » (Philippe Garbit), France Culture, samedis, de 14h30 à 16h00, à partir samedi 31 juillet 2010 : John Huston, le 28 août (rediffusion à 0h57)

« Le film d’un été » (Stéphane Boudsocq), RTL, lundi 23 à vendredi 27 août 2010, à 9h00

« Des musiques au cinéma » (Thierry Jousse), France Musique, samedi 28 août 2010, de 12h30 à 13h00 : « Trésors cachés », série de quatre émissions (à partir du 7 août 2010) – « Un tour du monde en accéléré »


Émissions radiophoniques sur le cinéma de la semaine en cours :

« Greniers de la mémoire » (Karine Le Bail et Philippe Tétart), France Musique, samedi 28 août 2010, de 11h00 à 12h00 : « Jacques Prévert » (émission du 13 janvier 2008), avec les voix de Joseph Kosma, Henri Crolla, Christiane Verger, Marianne Oswald, Juliette Gréco, Edith Piaf, Germaine Montero, les Frères Jacques, Serge Reggiani, Yves Montant

« Au temps pour moi » (Harold Manning), France Inter, samedi 28 août 2010, de 15h05 à 16h00 : Wim Wenders

« Escale estivale » (Emmanuel Khérad), France Inter, samedi 28 août 2010, de 18h10 à 19h00 : Lee Chang-dong (cinéaste), pour son film Poetry

« Ronde de nuit » (Olivier Le Borgne), France Vivace, nuit du samedi 28 au dimanche 29 août 2010, de 4h00 à 8h00 : Actualité du DVD, du Blue Ray Disc, du livre de cinéma (la nouvelle édition d’Amis américains de Bertrand Tavernier) ; « J’adore filmer les trains », entretien avec Bertrand Tavernier à propos de John Ford

http://www.mollat.com/cache/Couvertures/9782742763948.jpg

« Forum Tel-Aviv : la démocratie et ses défis », France Culture, dimanche 29 août 2010, de 20h00 à 21h00 : « Challenging, democracy, the power of movie makers » (« Les similarités entre le cinéma français et un cinéma israélien en expansion : une critique sociale et protestataire » ; 31 mai 2010), avec Yael Abecassis (actrice), Claude Miller (réalisateur), Katriel Schory (directeur d’Israeli Film Fund) et François Samuelson (agent)

« Passion classique » (Olivier Bellamy), Radio Classique, lundi 30 août 2010, à 18h00 : Julie Depardieu (actrice)

« Hors-Champs » (Laure Adler), France Culture, mercredi 1er septembre 2010, de 22h10 à 23h00 : Cristi Puiu (cinéaste)


Rediffusions :

« À portée de mots » (François Castang), France Musique, dimanche 29 août 2010, de 8h00 à 9h00 – Rediffusion de l’émission du 10 août 2006 : Joann Sfar (bédéaste et réalisateur)

« Collège des ondes », « Les nuits » de France Culture, nuit du lundi 30 au mardi 31 août 2010, de 2h06 à 2h36 : « L’Amérique cinématographique » (1961)

« Obliques » (Pierre Gaffié), tous les jeudis du mois d’août 2010, de 13h15 à 13h45 : le 26 août


Compléments et rappels :

- Grille des émissions de radio spécifiquement consacrées au cinéma

- Liste des émissions récentes de France Info sur le cinéma

- Liste des invités des émissions de radio d’information sur le site "Zapping du paf"

- Le fil d’information relatif au cinéma de l’AFP

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TV ET CINÉMA

25 Août 2010, 23:32pm

Publié par Mister Arkadin

Selon Olivier Assayas, seule la télévision pouvait produire Carlos, son meilleur film (de cinéma à ses yeux) pour beaucoup.

C'est loin d'être la première fois qu'un cinéaste réputé réalise l'un de ses meilleurs films grâce à la télévision.

Voici quelques exemples : 

- Fanny et Alexandre, d'Ingmar Bergman ;

- Germaine et Benjamin, de Jacques Doillon ;

- Two friends, de Jane Campion ;Two-Friends.jpg

- version longue d'Underground d'Emir Kusturica ;

- La Vie de Marianne, de Benoit Jacquot.

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TOUS LES PRÉTEXTES... - PLAGE - I

23 Août 2010, 23:20pm

Publié par Mister Arkadin

TOUS LES PRÉTEXTES SONT BONS…

…AU CINÉMA…

…POUR DÉSHABILLER LES FEMMES !



PLAGE - I

 

 

 

Anémone dans Poule et frites

   Anémone dans Poule et frites

 

 

Charlotte Very dans Conte d'hiver

 

Charlotte Very dans Conte d'hiver

 

 

Chelan Simmons dans Good Luck Chuck

 

Chelan Simmons dans Good Luck Chuck

 

 

Danai Skiadi et Katerina Tsavalou dans Hardcore

 

Danai Skiadi et Katerina Tsavalou dans Hardcore

 

 

Erica Durance dans House of the Dead

 

Erica Durance dans House of the Dead

 

 

Helen Mirren dans Age Of Consent

 

Helen Mirren dans Age Of Consent

 

 

Kelly Brook dans There

 

Kelly Brook dans There

 

 

Jennifer Connelly dans Hot Spot

 

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Margarita Levieva dans Spread

 

Margarita Levieva dans Spread

 

 

Mata Gabin dans Un souvenir

 

Mata Gabin dans Un souvenir

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CINÉMA ET RADIO : SEMAINE DU 22 AOÛT 2010

21 Août 2010, 23:08pm

Publié par Mister Arkadin

 

Rattrapages :

« Coup de projecteur », TSF Jazz, 23, 24, 29 et 30 juin 2010, à 8h30 - Rediffusions à 11h30 et 16h30 : « Un Bunuel oublié en DVD » ; « Dans les coulisses de Positif » ; « Le prix de la mise en scène à Cannes ("Tournée" de Mathieu Amalric) » ; « Kurosawa l'Empereur »

« La jeunesse, tu l’aimes ou tu la quittes » (Joy Sorman), jeudi 19 août 2010, de 11h05 à 12h00 - Podcast : Ovidie (actrice et réalisatrice)

« L’été en pente douce » (Guillaume Erner), France Inter, vendredi 20 août 2010, de 9h10 à 10h00 – Podcast : « Ils et Elles » - reportage de Raphaëlle Mantoux sur les Festival du Film Insulaire à l'île de Groix et chronique de Maïa Mazaurette sur les fesses de François Sagat


Émissions de l’été consacrées au cinéma :

« Afriques : des cinéastes dans l’indépendance » (Simone Douek), France Culture, samedis, de 12h00 à 12h30 - à partir du samedi 31 juillet 2010 : « Mali : Abdoulaye Ascofaré, poète et cinéaste, réalisateur de Faraw, une mère des sables (1997) », le 21 août (rediffusion à 4h27) - à venir : « Angola : Zézé Gamboa, réalisateur de Dissidence (documentaire, 1998), O Heroi (fiction, 2004) », le 28 août

« La Master Class » (Pascal Mérigeau ; enregistrée au Forum des images), France Culture, samedis, de 13h30 à 14h30, à partir du samedi 31 juillet 2010 : les frères Dardenne (cinéastes ; 3 mars 2010), le 21 août (rediffusion à 23h57) – à venir : Bertrand Tavernier (ancien attaché de presse et critique de cinéma, cinéaste et historien du cinéma), le 28 août 2010

http://www.upne.com/images/covers_large/0819568457.jpg

« Mardis du cinéma » (Philippe Garbit), France Culture, samedis, de 14h30 à 16h00, à partir samedi 31 juillet 2010 : « Anthony Mann et la tragédie des grands espaces » (Y.Builly ; 1997 ; avec Jean Collet, Noël Simsolo, Didier Bertrand et Jean Douchet ; textes de Jean-Luc Godard lus par D. Tarrare), le 21 août (rediffusion à 0h57) – à venir : John Huston, le 28 août

« Le film d’un été » (Stéphane Boudsocq), RTL, lundi 23 à vendredi 27 août 2010, à 9h00

« Des musiques au cinéma » (Thierry Jousse), France Musique, samedi 21 août 2010, de 12h30 à 13h00 : « Trésors cachés », série de quatre émissions (à partir du 7 août 2010) – « Les compositeurs anglais des années 1960 »


Émissions radiophoniques sur le cinéma de la semaine en cours :

« 24 heures dans la vie de… » (Colette Fellous), France Culture, samedi 21 août 2010, de 12h40 à 13h30 : Denis Podalydès (comédien et scénariste), à Avignon

« Chroniques rebelles », Radio Libertaire, samedi 21 août 2010, à 13h30 : Hélène Fleckinger (historienne du cinéma, légataire de l’œuvre de Carole Roussopoulos ; professeur à l’Université de Paris I), à propos de Caméra militante. Luttes de libération des années 1970 de Carole Roussopoulos (Éditions Metis-Presses)

« Serge Daney croque la télé » (Merryl Moneghetti ; Serge Toubiana), lundi 23 à vendredi 27 août 2010, de 7h55 à 8h00 : « Le zapping sous toutes ses formes » ; « L’absence et le trop d’images » ; « Cabotinage et rage sur terre battue » ; « La littérature au service de la politique » ; « Vive les clips ! »

« Voulez-vous sortir avec moi ? », France Inter, lundi 23, mardi 24 août 2010, à 18h10 : Jean Dujardin (comédien), à l’occasion de la sortie du film de Bertrand Blier Le Bruit des glaçons ; Clovis Cornillac

http://www.kurdishcinema.com/images/047456_ph8_1_.jpg

« Jardins secrets » (Brigitte Lefèvre), France Culture, lundi 23, mardi 24 août 2010, de 22h10 à 23h00 : Lambert Wilson (acteur) ; Catherine Hiegel (comédienne)

« La jeunesse, tu l’aimes ou tu la quittes » (Joy Sorman), mardi 24, jeudi 26 et vendredi 27 août 2010, de 11h05 à 12h00 - Podcast : Christophe Bourseiller (acteur et journaliste) ; Philippe Katerine (chanteur et comédien) ; Marina Foïs (actrice)

« Micro fictions » (Ali Rebeihi), France Inter, mardi 24, jeudi 26 et vendredi 27 août 2010, de 20h05 à 21h00 – Podcast : Lee Chang-dong (cinéaste), pour la sortie de son film Poetry ; « Le métier de producteur de cinéma », avec Christophe Rossignon et Eric Altmayer ; Véronique Cayla (présidente du CNC)

« Coup de projecteur », TSF Jazz, mercredi 25 août 2010, à 8h30 - Rediffusions à 11h30 et 16h30 : Anne Alvaro et Myriam Boyer (actrices), pour le film de Bertrand Blier Le Bruit des glaçons

« Lumières d’août » (Benoit Lagane et Camille Renard), France Culture, mercredi 25 août 2010, de 12h45 à 13h00 : Lee Chang-dong (cinéaste), pour la sortie de son film Poetry

« Summertime » (E. Boublil), France Inter, mercredi 25 août 2010, à 22h10 : « Les BO jazz des films » 


Rediffusions :

« Obliques » (Pierre Gaffié), tous les jeudis du mois d’août 2010, de 13h15 à 13h45 : « Leçon de Cinéma » - « La lumière au cinéma » (18 octobre 2008), avec Brigitte Barbier (chef-opératrice), le 5 août ; « Le métier de comédien » (15 novembre 2008), avec Dominique Parent (comédien), le 12 août ; « Le métier de cinéaste » (9 avril 2010), avec Anne Le Ny (comédienne et cinéaste), le 19 août ; le 26 août

http://images.allocine.fr/r_760_x/medias/nmedia/18/73/97/02/19243435.jpg

« Greniers de la mémoire » (Karine Le Bail et Philippe Tétart), France Musique, samedi 21 août 2010, de 11h00 à 12h00 : « Jacques Prévert » (émission du 6 janvier 2008), avec les voix de Joseph Kosma, Henri Crolla, Christiane Verger, Marianne Oswald, Juliette Gréco, Edith Piaf, Germaine Montero, les Frères Jacques, Serge Reggiani, Yves Montant

« 2000 ans d'histoire » (Patrice Gélinet), France Inter, mercredi 25 août 2010 : « Guerre froide et propagande au cinéma », avec Jean-Pierre Bertin-Maghit (historien du cinéma)


Compléments et rappels :

- Grille des émissions de radio spécifiquement consacrées au cinéma

- Liste des émissions récentes de France Info sur le cinéma

- Liste des invités des émissions de radio d’information sur le site "Zapping du paf"

- Le fil d’information relatif au cinéma de l’AFP

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8 ENFANTS

20 Août 2010, 01:38am

Publié par Mister Arkadin

Coïncidence de l’actualité :

- une mère « reconnaît avoir volontairement étouffé ses huit enfants » (Le Point, 29 juillet 2010), fait divers qui fait écho à un autre, qui vit un couple « écroué pour avoir affamé [ses] huit enfants » (Le Parisien, 15 avril 2009) ;

- « En France, un écrivain père de huit enfants est incarcéré pour ses recherches historiques et la presse dite "libre" n’en dit rien ! » (Paul-Éric Blanrue, "lepost.fr", 6 août 2010).

Huit enfants. Avec qui la justice aurat-elle le plus d’indulgence, celui qui en a été séparé ou celle qui s’en est séparée ?

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17 Août 2010, 23:27pm

Publié par Mister Arkadin

Notre vénéré rédacteur en chef de Jeune cinéma, Lucien Logette, dans son excellente chronique (pléonasme) de La Quinzaine littéraire du 16/30 juin 2010 (n°1017, p.26), revient sur quelques "hidden gems", selon la terminologie de la revue Sight & Sound, ces « joyaux cachés oubliés par le temps », « films dont l’étrangeté résisterait à l’usure, des hapax qui, d’une ère à l’autre, garderaient toutes les vertus saugrenus », « des titres dans la marge dont la seule évocation déclenche des sourires connivents chez les heureux mortels qui ont pu les savourer, et dont on aimerait prolonger la liste. » Parmi eux, Monsieur Coccinelle, film sorti initialement le 3 novembre 1938 auquel je m’empresse de faire un sort particulier en reproduisant un article paru au moment de sa ressortie en 1942 qui montre qu’il faisait alors déjà figure d’hapax. Ce statut lui a été confirmé environ une fois par décennie, trois exemples étant donnés dans les indispensables index Calenge :

- « Films oubliés d'hier et d'avant-hier », par Raymond Borde, Cinéma, n°4, mars 1955, p.77 (« Bernard-Deschamps ») ;

- Fiche filmographique, par Paul Vecchiali, La Saison cinématographique 1973, « Image et Son », octobre 1973, p.253 ;

- « Quand les coccinelles déployaient leurs ailes » (sur Pierre Larquey), par Raymond Chirat, et analyse du film, par Marcel Oms, Cahiers de la Cinémathèque, n°50, « L’âge d’or de la petite bourgeoisie », 1988, p.53 et 88 ;

- « Bernard-Deschamps, essai d'inventaire », par Luc Moullet, Trafic, n°70, p.63-66.

Et il serait étonnant que Chardère n’ait pas pris le relais à un moment ou à un autre.

En ce qui concerne les histoires du cinéma, voyons le P.V. de 1973 : « Bernard Deschamps ? Personne ne connaît... Monsieur Coccinelle ? Enterré avec toute cette horrible production française des années trente, surannée et petite bourgeoise... Dépêchons-nous, en effet, de l'enterrer car, par l'audace de ses oeuvres les moins ambitieuses, par le courage de ses cinéastes les moins célébrés, par la fantaisie de ses scénaristes les plus obscurs, par le talent et la personnalité de ses acteurs dits secondaires, ce cinéma-là ferait mourir de honte la quasi-totalité des cinéastes d'aujourd'hui. »

La situation n'a pas tellement changé, le Billard de 1995 ignorant le film, tout comme le Guide Cinéma 2009 de "Télérama".

Une revue de presse de 1938 serait bienvenue.

- J’ai qu’à m’y coller, dites-vous ? Bon, je ne promets rien, mais c’est tentant !

 


Complément (22 août 2010) : un lecteur particulièrement savant me signale que les jeunes cinéphiles du film de Jean-Charles Tacchella, Travelling Avant, choisissent Monsieur-Coccinelle pour inaugurer leur ciné-club.

http://www.encyclocine.com/films/en3228.jpg

 


 

Comœdia, n°59, 8 août 1942, p.1/5.

 

UNE ERREUR JUDICIAIRE

 

par EMILE VUILLERMOZ

 

C’est à tous les arts que devrait être étendue l’initiative féconde des peintres qui fondèrent, un jour, le « Salon des Refusés ».

Cette juridiction d’appel, ce recours en cassation assureraient à tous les créateurs des garanties de justice singulièrement précieuses dans leur profession où rien n’est plus fréquent qu’une erreur judiciaire. Assurément, il ne faut pas cultiver, comme on l’a fait souvent, le snobisme de l’échec et croire qu’un artiste sifflé a forcément du génie, mais, en rassemblant méthodiquement les ouvrages qui ont dérouté ou scandalisé la foule au moment de leur naissance, on a de grandes chances de recueillir d’intéressantes indications.

Les auteurs de cinéma seraient les premiers à tirer bénéfice d’une telle procédure. Justiciables de tribunaux assez suspects – puisque le droit de vie ou de mort appartient aux exploitants, dont la déformation professionnelle est redoutable, et à la foule, dont l’ignorance est dangereuse – ils auraient le plus grand intérêt à subir une nouvelle expertise en sollicitant le témoignage d’observateurs possédant une indépendance plus complète et un sens critique plus développé. Voilà pourquoi j’estime qu’un club, un journal ou une salle spécialisée qui organiserait, périodiquement, des présentations de films condamnés par le suffrage universel, retiendrait l’attention d’une clientèle de connaisseurs et rendrait souvent à l’art des images un magnifique service.

Cette idée s’est imposée à moi, ces jours-ci, en présence d’un écran où le hasard me faisait assister à la projection fugitive d’un film de Bernard Deschamps intitulé : « Monsieur Coccinelle ». Ce film rentrait au bercail après un circuit mouvementé. Il portait de glorieuses blessures. Des cicatrices très apparentes dénonçaient les coups de ciseaux rageurs émanant de quelques tenanciers de salles, scandalisés par le caractère inhabituel de cette réalisation. Ces gardiens de la tradition commerciale avaient essayé, naïvement, par leur censure individuelle, de limiter les dégâts !

Ce film avait heurté l’opinion. Je reconnais qu’il n’était pas sans défauts et il me serait facile d’y relever des erreurs de rythme et de distribution d’une certaine gravité. Mais il était trop évident que ces faiblesses n’étaient pas de celles qu’une foule peut discerner et dont elle est capable de souffrir. Tout au contraire ! Le soin avec lequel les exploitants avaient respecté les dialogues trop lents et sacrifié les scènes de cinéma pur prouvait bien que mes scrupules se situaient aux antipodes de la zone de résistance du public. Le malentendu était total et tout le procès était à reprendre.

L’introduction pouvait se reconstituer aisément. Avez-vous observé la réaction prévue, inévitable, qu’ont déterminée dans nos studios les excès du « théâtre photographié » ? La belle comédie filmée, spirituellement dialoguée et brillamment jouée par des virtuoses affranchis de toute préoccupation cinématographique, plaît incontestablement à notre foule latine, plus sensible au verbe qu’à l’image. Et son succès est fort légitime. Mais cette formule de spectacle a entraîné une telle simplification et, disons le mot, un tel appauvrissement de la technique d’écran que certains cinéastes ont éprouvé le besoin de réhabiliter le vocabulaire, la grammaire et la syntaxe du langage visuel parvenu, au temps du film silencieux, à un stade d’éloquence si nuancée. On vit surgir des hommages à Méliès et l’on rechercha les souples enchaînements d’images et de sons déshumanisés qui créent sans le secours des mots, des associations d’idées et de sentiments dont s’émeut notre subconscience. Un technicien aussi orthodoxe que Marcel L’Herbier et cet infatigable Rastelli de l’esthétique qu’est Jean Cocteau ont, tout récemment encore, rompu en faveur de cet idéal, ces deux lances qui s’appellent La Nuit fantastique et La Comédie du bonheur.

Mais personne ne s’est aperçu que, depuis quatre ans, Bernard Deschamps avait déjà livré cette bataille avec Monsieur Coccinelle. On ne lui en sut aucun gré et il ne faut pas s’en étonner, car toutes les règles du jeu avaient été violées.

Bernard Deschamps est un professionnel connu, catalogué, classé, qui porte, attachée à son cou, une fiche signalétique établie pour l’éternité. Rien dans ce passeport n’autorisait son titulaire à pénétrer dans un domaine réservé. Bernard Deschamps n’avait pas le droit de nous donner un nouvel Entr’acte. Nul ne voulut donc homologuer sa performance.

De plus, quel terrain de combat avait-il choisi ? La satire sociale la plus impertinente, la plus irritante, la plus automatiquement impopulaire : le portrait, en daguerréotie, du François moyen, campé devant l’objectif dans des poses choisies avec une féroce clairvoyance. Photographie impitoyable, d’une laideur savante, aggravée par la minutieuse application de Larquey soucieux de ne laisser dans l’ombre aucune des tares du modèle. Souvenez-vous de l’atroce perfection de certains rôles de « composition » de notre grand Signoret ! Spectacle d’une cruauté d’autant plus insoutenable que l’écran tendait brutalement à la majorité des spectateurs un miroir dans lequel ils se reconnaissaient avec humiliation et colère.

Allez donc demander l’adhésion de la foule à l’analyse des états d’âme d’un ménage petit-bourgeois guettant un héritage, d’un fonctionnaire-marionnette assis sur le trône du Dictionnaire des idées reçues, d’une douce vieille fille rongée par le cancer du rêve et de toute une population conformiste attachant le masque grotesque de sa propre sottise sur le visage auguste de la Mort ! Invitez donc à sourire du musée des horreurs que représentent la villa et le jardinet de ce banlieusard les millions de Français dont la plus ardente ambition est d’en posséder de semblables ! La provocation était trop insolente.

Ajoutez à cela la mise en pleine lumière de la médiocrité et de l’inutilité d’une vie d’honnête homme, ni pire ni meilleur que les neuf dixièmes des clients du cinéma qui la contemplent, l’ironique amertume de la stylisation musicale des gestes de ces pantins dont la routine tire les ficelles, l’amère constatation de l’égoïsme et de la cupidité universelle et vous comprendrez pourquoi la foule n’a pas sauté au cou de l’auteur pour le remercier de la leçon précieuse qu’il venait de lui donner.

Mais il n’en demeure pas moins évident que ce film a subi un déni de justice, car personne ne s’est levé pour faire observer qu’il était, à la fois, courageux et généreux comme un conte de Maupassant retouché successivement par Mirbeau et Courteline. Personne n’a dit que cette œuvre avait un style, ce qui est, à l’écran, une singularité technique rarissime. Personne n’a su rendre justice à un effort strictement cinématographique dans une époque de production où le « cinématographe » est aussi démodé que le zootrope ou le praxinoscope de nos grands-pères. J’ajoute que ce scénario a une valeur sociologique exceptionnelle parce que le foisonnement des Coccinelle dans notre France d’avant-guerre explique parfaitement l’aveuglement qui a conduit notre pays à sa perte.

Pour toutes ces raisons, pour d’autres encore, cette réalisation méritait l’attention des familiers de l’écran et c’est pourquoi il faut souhaiter que, dans sa version intégrale et en présence de témoins qualifiés, ce film reprenne rétrospectivement la place qui lui était due dans l’histoire de notre lanterne magique.

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MOI NON PLUS JE T’AIME, BONI : LA MÉMOIRE LONGUE D’OLIVEIRA

15 Août 2010, 23:03pm

Publié par Mister Arkadin

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A contrario de nombreux cinéphiles, je ne fais guère usage des boni de DVD, n’ayant pas sauté dans le train de cette pratique pouvant révolutionner la perception des films. Vais-je m’y convertir après avoir vérifié ce que j’avais pressenti dès l’annonce de la sortie en DVD, le 4 mai 2010, de Je t’aime… moi non plus. Artistes et critiques (documentaire de Maria de Medeiros sorti à l’Espace Saint-Michel de Paris le 9 mai 2007), avec en "boni" « 4h40 d’interviews exclusives et inédites », dont une avec Manoel de Oliveira (17 min. 48 sec.) - à savoir que l’oubli que j’avais attribué à ce dernier dans mon billet « Éloge d’un critique », tempéré par « Gratitude d’Oliveira », résultait du montage effectué pour ne retenir dans le documentaire que quelques bribes de son entretien. Dans ces dernières n’est pas mentionné le nom d’Émile Vuillermoz. Le bonus montre qu’Oliveira n’a toutefois pas oublié de rendre hommage à celui-ci puisque voici la retranscription du premier extrait figurant sur le DVD (sous le titre « La plus belle phrase ») :

« La phrase la plus belle, qui m’a le plus touché, c’est en 1931, Émile Vuillermoz, qui était critique dans le journal Le Temps. Après la première de mon film, le documentaire Douro Faina Fluvial, sous un tonnerre de chahuts et de sifflets, de la part du public portugais et des critiques alors présents. Mais comme c’était une projection destinée à la critique internationale, Vuillermoz était là, un grand critique français de l’époque autant de musique que de cinéma, pour le journal Le Temps. Il voulait me rencontrer, et on me l’a présenté. Je ne parlais pas français à l’époque. Alors on m’a traduit ce qu’il me disait, que le cinéma était entre les mains d’une nouvelle génération, et qu’il avait senti cela dans mon film. Et que je l’avais réellement ému par l’expression et la richesse du montage. Et ces premiers mots, alors que je présentais mon premier film, j’avais vingt-et-un ou vingt-deux ans, quelque chose comme ça, après ce tonnerre de sifflets, ce fut pour moi une joie. Ce fut la première joie que j’ai connu par mon travail de cinéaste. Après, j’ai connu la répétition de cela tout au long de ma vie jusqu’à aujourd’hui. »

Un autre document permet de se rendre compte qu’Oliveira mentionne quasiment toujours Émile Vuillermoz quand il est question de ses débuts dans le cinéma et de la reconnaissance comme cinéaste : l’enregistrement vidéo d’une discussion entre le metteur en scène et l’écrivain Antonio Tabucchi, organisée à la suite de la projection de Douro, Faina Fluvial à la Cinémathèque française le 3 juillet 2008. Il lui reconnaît la prééminence bien que Tabucchi tente de la minorer pour mettre en avant un auteur autrement plus connu. Entre la sixième et la septième minute, tandis que Tabucchi lui parle de la « recension enthousiaste » d’Émile Vuillermoz, « le critique français, une autorité de la critique », « la France vous [ayant] reconnu tout de suite », tout en ajoutant « mais le premier critique en absolu est Luigi Pirandello », Oliveira trouve le temps de glisser, mezza voce, « pour la première fois » (à propos de sa reconnaissance comme cinéaste, par la France donc, et plus précisément par Vuillermoz). Il enfonce le clou entre la dix-neuvième et la vingtième minute : « Vuillermoz en a parlé très bien ; et Pirandello aussi. Sans cela, ce serait fini. Alors je ne peux oublier ce moment. » Il évoque ensuite Amour de perdition, film sorti à Paris le 13 juin 1979 qui, grâce à son succès en France dû à l’enthousiasme des journaux français, connut un retour triomphal au Portugal, puis conclut ce chapitre fondamental de sa reconnaissance critique :

« Ces deux moments sont dans mon cœur et cela m’a donné la continuité. Sinon je crois que [j’aurais été] fini. Alors, j’ai la France dans mon cœur. »

 


Complément (20 août 2010) : Dans Politis (n°1110, 8 juillet 2010, p.25), Christophe Kantcheff cite des propos tenus par Wim  Wenders que je reprendrais bien à mon compte : « [Une bonne critique] n'est pas une opinion. C'est le récit de l'expérience que quelqu'un a eue avec un film. Si, en lisant son texte, je ressens que le critique a vécu quelque chose en voyant le film, alors il m'intéresse. »

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