Site personnel de Pascal Manuel Heu, consacré à ses publications, au cinéma et à la critique. Page complémentaire : https://www.facebook.com/Mister-Arkadin-1041074065975069/
Quelques publications récentes seront probablement également signalées, notamment Livr’Arbitres (dont la prochaine soirée parisienne aura lieu le vendredi 5 juillet prochain).
- quelques publications, notamment
le numéro 77 (juin 2024) du magazine L’Incorrect, avec « Olivier Assayas, César du comique involontaire [pour son Hors du temps] », par Christophe Despaux, et « Caligula ou la fin du "cinéma d’exploitation" », par Marc Obregon
et le n°429 (mai 2024) de la revue Jeune Cinéma, avec un point complet de Lucien Logette sur « Les films français à Cannes 2024 », un dossier sur Boris Barnet, des articles sur Jean Eustache, Yasujiro Ozu, « deux films noirs argentins », « Images de la guerre et de l’après-guerre dans trois films japonais », etc.
- de quelques rétrospectives : Mike Nichols (avec notamment Le Lauréat, le samedi 15 juin 2024, Ce plaisir qu’on dit charnel, Catch-22, Primary Colors, Qui a peur de Virginia Woolf ?, Working Girl) et Valerio Zurlini (avec notamment Eté violent, Journal, Le Professeur, Le Désert des tartares et La Fille à la valise, le jeudi 6 juin prochain).
Il sera enfin rendu hommage à Michael Cimino, disparu il y a huit ans.
Le "Libre journal du cinéma" (LJC) de ce jeudi 7 mars 2024, à partir de midi, rendra hommage à Alfred Eibel (1932-2024) (1), avec Michel Marmin (journaliste et critique de cinéma, poète et écrivain) (2) et Michel Mourlet (critique et écrivain) (3), puis recevra Marc Obregon (journaliste et critique de cinéma au magazine L’Incorrect, écrivain), à l’occasion de la sortie de son roman Omegatown (tome 1, aux éditions du Verbe haut), dont il nous entretiendra avec Antoine Katerji (critique, notamment à la revue Livr'Arbitres).
Seront peut-être aussi évoqués quelques films sortis récemment en salles, notamment Dune : Deuxième partie (Denis Villeneuve).
- des publications :
notamment le n°17 de ZentroMag, avec un article sur le cinoche (« TechnoHorror »),
- quelques films récents, notamment Killers of the Flower Moon (de Martin Scorsese), Second tour (d’Albert Dupontel) et Sound of Freedom (d’Alejandro Monterverde).
Le "Libre journal du cinéma" (LJC) de ce jeudi 1er juin, à partir de midi, sera consacré à l’actualité des films, avec un zoom sur le festival de Cannes, avec :
Actualité des films, avec Jean-Max Méjean (critique à Jeune cinéma et à "iletaitunefoislecinema.com" ; dir. Pasolini), notamment à propos de Sans Filtre, film suédois de Ruben Östlund ayant obtenu la palme d’or au dernier festival de Cannes (mai 2022, dont il a rendu compte au jour le jour), Rifkin's Festival (Woody Allen), La Nuit du 12 (Dominik Moll), Avatar (James Cameron), Simone, le voyage du siècle (Olivier Dahan), Ariaferma (Leonardo Di Constanzo), Ticket to Paradise (Ol Parker), etc.
Robert Le Vigan et Louis-Ferdinand Céline, avec Marc Laudelout (directeur du Bulletin célinien, mensuel sur l’écrivain Louis-Ferdinand Céline édité à Bruxelles qui vient de publier un numéro, le 455, d’octobre 2022, à Le Vigan ; auteur de Céline à hue et à dia, aux éditions de la Nouvelle Librairie), qui était venu parler des rapports entre le Céline et le cinéma au LJC du 15 février 2018.
- Jean-Max Méjean (critique à Jeune cinéma et à "iletaitunefoislecinema.com"), à propos du dernier festival de Cannes (mai 2022), dont il a rendu compte au jour le jour, et du dernier livre qu'il a dirigé, Roman Polanski (Éditions Gremese, 2021).
On se figure parfois que la saturation de l'environnement publicitaire, la profusion d'affiches, de spots, d'encarts dans les journaux, de pastilles de réclame constellant les pages web, etc., rendent ce matraquage inopérant. En bref, qu'à force que notre attention soit sollicitée, au-delà de toute mesure, par des messages à caractère publicitaire, nous finissons par ne plus du tout y être réceptifs, qu'ils glissent sur nous sans nous affecter, si blasés que nous sommes devenus. Peut-être est-ce le cas en ce qui concerne les adultes, dans une certaine mesure. Mais, tout parent en a fait l'expérience, les antennes des enfants sont encore hypersensibles pour repérer illico les messages qui leur sont destinés. Je ne compte plus les fois où mon mioche m'a signalé une affiche de film sur un bus ou sur la devanture d'un bar, qui m'avait complétement échappé alors même qu'elle était entrée dans mon champ de vision de manière aussi intrusive que dans le sien. Ainsi en a-t-il été quand nous nous sommes rendus récemment à la formidable librairie La Table des matières.
Au détour d'une rue, le marmot a sursauté : "Oh, je veux voir ça !"
D'Artagnan et les trois mousquetaires, de quoi raviver mes souvenirs de films de cape et d'épée, de Gene Kelly et Stewart Granger, et me donner envie de les lui faire découvrir. Pourquoi ne pas commencer, afin de ne pas me complaire dans mon profil de rétrograde ne jurant que par la "Dernière séance" et autres programmations d'un autre siècle, par ce film d'animation sorti le 25 août, avec le secret espoir que cette version animée ne sera pour lui qu'un avant-goût des versions de l'âge d'or hollywoodien. N'étant pas disponible pour le voir à Paris, ou dans quelques autres grandes villes, durant la période suivante, je suis reconnaissant à l'agence de communication s'occupant de ce film de m'avoir fourni un autre moyen de le visionner ; privilège dont, en tant que critique, je puis profiter, mais dont je n'ai guère abusé jusqu'à présent (préférant voir les films en salles, si possible au milieu d'un public "normal", et non en compagnie de confrères, lors des projections de presse - dont nous pouvons au passage noter qu'elles sont désormais de plus en plus fréquentées par des cinéphiles alimentant non plus les tribunes de la presse "classique", au demeurant de plus en plus rares et réduites à la portion congrue, mais des sites ou des chaînes Internet).
Comme je l'ai expliqué précédemment à plusieurs reprises sur ce blog, je tâche, sans y parvenir systématiquement, d'y signaler (ou à défaut sur ma page Facebook), toutes les productions ou manifestations (films et livres ; expositions) qu'il m'a été donné l'occasion de voir ou d'acquérir par "service de presse" : ceci ne préjuge pas de mon avis sur le film ou le livre en question ; et si jamais je n'ai ensuite pas le temps d'en parler plus abondamment, cela ne veut pas forcément non plus dire que je ne l'aurai pas apprécié (idem pour le kid !).