Site personnel de Pascal Manuel Heu, consacré à ses publications, au cinéma et à la critique. Page complémentaire : https://www.facebook.com/Mister-Arkadin-1041074065975069/
Quelques publications récentes seront probablement également signalées, notamment Livr’Arbitres (dont la prochaine soirée parisienne aura lieu le vendredi 5 juillet prochain).
Le "Libre journal du cinéma" (LJC) de ce jeudi 8 février 2024, à partir de midi, reçoit le cinéaste et ancien journaliste Pascal Thomas.
Pour évoquer avec lui à la fois sa carrière, son dernier film (Le Voyage en pyjama, sorti le 17 janvier 2024) et ses mémoires (Souvenirs en pagaille, « Anecdotes recueillis bien malgré lui par Alain Kruger & Jean Ollé-Laprune », sorti chez Séguier en janvier 2024), seront présents :
- quelques films sortis en 2023 : Pacifiction (Albert Serra), Babylon (Damien Chazelle), Tàr (Todd Field), The Fabelmans (Steven Spielberg) ; Sur les chemins noirs (Denis Imbert)
- des publications :
- Livr’Arbitres (n°41, mars 2023), comprenant un entretien avec Michel Marmin
Au "Libre journal du cinéma" (LJC) du jeudi 25 août 2022, a été rendu hommage à la comédienne Micheline Presle, à l’occasion de son centenaire, et au cinéaste Jean Becker, à l’occasion de la sortie en salles des Volets verts, film inspiré [1] d’un roman de Georges Simenon [2], avec :
[1] C’est le terme employé au générique de fin pour qualifier l’adaptation écrite par Jean-Loup Dabadie ; l’exemple le plus fameux d’adaptation cinématographique telle que décrite dans l’émission demeure bien entendu Les Miséroïdes.
[3] On pourra aussi le réentendre sur Courtoisie dès le lundi 29 août 2022 (de 19h 40 à 21h) dans une émission qu’il dirigera sur « Eric Rohmer, Un cinéaste de l’âme française » , avec Marie-Noëlle Tranchant (Journaliste « Cinéma » durant 35 ans au Figaro, et aujourd'hui à Radio Notre Dame), Hugues Moreau (directeur de l’ouvrage collectif Le Paradis français d’Éric Rohmer, Ed. Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Pierre Cormary (blogueur, collaborateur de cet ouvrage collectif) et l’abbé Guillaume de Tanoüarn (directeur de Monde et vie, auteur de Parier avec Pascal, avec en appendice le texte « Eric Rohmer à l’heure du Pari », Le Cerf, 2012).
[4] Dans le n°37 (mars 2022), une coquille attribue à Antoine Katerji un entretien mené par Guillaume Narguet avec le cofondateur du LJC, Philippe d’Hugues (« Le cinéma mourra d’une surabonde d’images »).
[5] Une autre comédienne, amie d’enfance de Micheline Presle, a été évoquée relativement longuement dans l’émission, Corinne Luchaire, sur laquelle on lira l’édition revue et augmentée de Corinne Luchaire. Un colibri dans la tempête (par Carole Wrona, avec une préface de Pierre Barillet, aux éditions du 81, juin 2022).
Au programme du "Libre journal du cinéma" de ce 28 juillet 2022, histoire d'un mouvement cinéphilique, le mac-mahonisme, avec :
l'un de ses principaux protagonistes, Michel Mourlet (écrivain, critique, professeur, scénariste, patron d'émission à Radio Courtoisie, auteur de Dans le fauteuil du quatrième rang. Deux cent films des années 1968-1981, France Univers, novembre 2021) ;
le critique et historien du cinéma Antoine Katerji (membre de la rédaction de la revueLivr'Arbitres ; auteur de "Bazin, Mourlet : convergence et oppositions", annexe au livre de Michel Mourlet L'Ecran éblouissant. Voyages en Cinéphilie 1958-2010, Presses Universitaires de France, février 2011).
Avec également une chronique de Florin Popesco, sur Dédales, film roumain de Bogdan George Apetri sorti en salles le 20 juillet 2022.
Laurent Dandrieu, critique à l’hebdomadaire Valeurs actuelles (dont il est le rédacteur en chef Culture), auteur de deux livres sur le cinéma présenté au "Libre journal du cinéma" (Woody Allen, portrait d'un antimoderne, Paris, CNRS, 2010, LJC du 17 juin 2010 ; Dictionnaire passionné du cinéma : 6000 films à voir ou à fuir, Paris, L'Homme nouveau, 2013, LJC du 23 janvier 2014) et de La Confrérie des intranquilles (Paris, Éditions L'Homme nouveau, 2020 ; prix d’Académie 2021 de l’Académie française), chroniqueur à RMC : Aline ; Chers Camarades ; Les Deux Alfred ; Julie en 12 chapitres ; Le Peuple loup
Marc Obregon, critique à L’Incorrect, écrivain (Contre les enfants du millénaire : Chroniques d’une perpétuelle, Lyon, Éditions Nouvelle Marge, 2019 ; L’Orbe, Nancy, Editions Verbe haut, 2022) : West Side Story ; The Card Counter ; Le Peuple loup ; Annette ; Chers Camarades
Arthur de Watrigant, critique et directeur adjoint de la rédaction du magazine L’Incorrect, chroniqueur à Cnews : Annette ; Bac Nord ; Chers Camarades ; Les Deux Alfred ; Illusions perdues ; Les Intranquilles ; La Main de Dieu ; La Mission ; Onoda ; Slalom
Les miens : Un héros ; Les Deux Alfred ; A l’abordage ; Le Sommet des Dieux ; La Loi de Téhéran ; La Nuée
A également été évoqué un film sorti début 2022 : Licorice Pizza, de Paul Thomas Anderson.
Laurent Dandrieu, critique à Valeurs actuelles (dont il est le rédacteur en chef Culture), auteur de deux livres sur le cinéma présenté au "Libre journal du cinéma" (Woody Allen, portrait d'un antimoderne, Paris, CNRS, , LJC du 17 juin 2010 ; Dictionnaire passionné du cinéma : 6000 films à voir ou à fuir, Paris, L'Homme nouveau, , LJC du 23 janvier 2014) et de La Confrérie des intranquilles (Paris, Éditions L'Homme nouveau, 2020 ; prix d’Académie 2021 de l’Académie française)
Marc Obregon, critique à L’Incorrect, écrivain (Contre les enfants du millénaire : Chroniques d’une perpétuelle, Lyon, Éditions Nouvelle Marge, 2019)
Arthur de Watrigant, critique et directeur adjoint de la rédaction de L’Incorrect
Dis-moi quels journaux ont rendu compte de toi (ou que tes distributeurs ont autorisé à le faire), et de quelle façon, dis-moi aussi le nombre de spectateurs qui se sont exprimés sur toi, et je te dirai quel film tu es.
... à Télérama, où Aurélien Ferenczi décrète, dans son compte rendu du film Fastlife (TRA, n°3366, 16 juillet 2014, p.45), que le cinéma français n'est pas assez ouvert et trop blanc (1). Comme la critique semble l'être encore beaucoup moins que l'interprétariat (2), nul doute qu'il s'agit d'un appel à un petit remplacement de sa grande personne. Aurélien Ferenczi est en effet aussi logique qu'Elisabeth Lévy. Celle-ci dit en gros : que ceux qui affirment qu'il n'y a pas assez de "Diversité" dans les médias, pas assez de Noirs, d'Arabes et d'Asiatiques surtout, nous disent de quoi il y a de trop. Aurélien Ferenczi se sent manifestement mal à l'aise d'être en trop : cela va mieux en le disant.
Notes :
(1)« Thomas Ngijol a le potentiel pour n'être pas qu'un acteur comique. Encore faudrait-il que le cinéma français soit plus ouvert et moins... blanc.»
(2) Par définition, la couleur d'un journaliste est, sauf dans l'audiovisuel, beaucoup moins aisée à connaître que celle d'un acteur, et même d'un réalisateur - pour autant que l'on en ait quoi que ce soit à faire (pour Steve McQueen, peut-être, afin de vérifier que l'acteur est bien mort). Cependant, pour ma part, je ne connais guère que Michaël Mélinard comme journaliste noir s'occupant de cinéma. Il officie dans l'un des hebdomadaires que je lis le plus régulièrement, L'Humanité Dimanche, et au Cercle de Canal +.
D'autres journaux donnent des leçons qu'ils n'appliquent pas eux mêmes en la matière, comme nous l'avions vu ici.
Plus généralement, j'ai traité de ces absurdes questions de "Diversité" là.
Compléments :
(14 août 2014) Et la couleur d'un blogueur de cinéma, importe-t-elle ? Voici qu'à cause des délires d'Aurélien Ferenczi, me frappe l'aspect physique de mon confrère Sidy Sakho.
(20 juillet 2019) Aurélien Ferenczi vient d'être débarqué de l'hebdomadaire nielo-pigassien suite à des accusations de harcèlement sexuel et moral (qu'il conteste). S'il est innocent, bon courage à lui. Sinon, alea jacta est.