Site personnel de Pascal Manuel Heu, consacré à ses publications, au cinéma et à la critique. Page complémentaire : https://www.facebook.com/Mister-Arkadin-1041074065975069/
Le "Libre journal du cinéma" du 10 mars 2022 sera en grande partie consacré au cinéaste (et écrivain) Pierre Schoendoerffer (1928 – 2012), avec :
François-Xavier Consoli, journaliste (interlocuteur de Stella Kamnga pour son livre La France n’est plus la France. Dialogue non coupable, aux éditions Le Verbe haut, liées à la librairie des deux Cités), auteur de « Pierre Schoendoerffer : l’Indochine perdue » (article à paraître dans la revue Livr’Arbitres)
Seront aussi évoquées quelques personnalités du cinéma récemment décédée, notamment les acteurs Dominique Paturel (3 avril 1931 – 28 février 2022) et André Wilms (29 avril 1947 – 9 février 2022).
Laurent Dandrieu, critique à l’hebdomadaire Valeurs actuelles (dont il est le rédacteur en chef Culture), auteur de deux livres sur le cinéma présenté au "Libre journal du cinéma" (Woody Allen, portrait d'un antimoderne, Paris, CNRS, 2010, LJC du 17 juin 2010 ; Dictionnaire passionné du cinéma : 6000 films à voir ou à fuir, Paris, L'Homme nouveau, 2013, LJC du 23 janvier 2014) et de La Confrérie des intranquilles (Paris, Éditions L'Homme nouveau, 2020 ; prix d’Académie 2021 de l’Académie française), chroniqueur à RMC : Aline ; Chers Camarades ; Les Deux Alfred ; Julie en 12 chapitres ; Le Peuple loup
Marc Obregon, critique à L’Incorrect, écrivain (Contre les enfants du millénaire : Chroniques d’une perpétuelle, Lyon, Éditions Nouvelle Marge, 2019 ; L’Orbe, Nancy, Editions Verbe haut, 2022) : West Side Story ; The Card Counter ; Le Peuple loup ; Annette ; Chers Camarades
Arthur de Watrigant, critique et directeur adjoint de la rédaction du magazine L’Incorrect, chroniqueur à Cnews : Annette ; Bac Nord ; Chers Camarades ; Les Deux Alfred ; Illusions perdues ; Les Intranquilles ; La Main de Dieu ; La Mission ; Onoda ; Slalom
Les miens : Un héros ; Les Deux Alfred ; A l’abordage ; Le Sommet des Dieux ; La Loi de Téhéran ; La Nuée
A également été évoqué un film sorti début 2022 : Licorice Pizza, de Paul Thomas Anderson.
Laurent Dandrieu, critique à Valeurs actuelles (dont il est le rédacteur en chef Culture), auteur de deux livres sur le cinéma présenté au "Libre journal du cinéma" (Woody Allen, portrait d'un antimoderne, Paris, CNRS, , LJC du 17 juin 2010 ; Dictionnaire passionné du cinéma : 6000 films à voir ou à fuir, Paris, L'Homme nouveau, , LJC du 23 janvier 2014) et de La Confrérie des intranquilles (Paris, Éditions L'Homme nouveau, 2020 ; prix d’Académie 2021 de l’Académie française)
Marc Obregon, critique à L’Incorrect, écrivain (Contre les enfants du millénaire : Chroniques d’une perpétuelle, Lyon, Éditions Nouvelle Marge, 2019)
Arthur de Watrigant, critique et directeur adjoint de la rédaction de L’Incorrect
Ont été évoqués, parmi les films en salles :
- Boîte noire, de Yann Gozlan
- L’Evénement, d’Audrey Diwan
- West Side Story, de Steven Spielberg
- Cry Macho, de Clint Eastwood (BA)
- La Pièce rapportée, de Peretjatko
- La Panthère des neiges, de Vincent Munier et Sylvain Tesson
- La Beauté du monde, de Cheyenne Marie Carron
- Parlez-moi d’amour, par Lucienne Boyer, lauréat du premier Grand prix du disque, créé par Dominique Sordet et Emile Vuillermoz, décerné par un jury constitué par l’hebdomadaire Candide
Grand Prix du Disque (Louis Lumière, Gustave Charpentier, Maurice Yvain, Lucienne Breval, Maurice Emmanuel, Émile Vuillermoz, Dominique Sordet)
On se figure parfois que la saturation de l'environnement publicitaire, la profusion d'affiches, de spots, d'encarts dans les journaux, de pastilles de réclame constellant les pages web, etc., rendent ce matraquage inopérant. En bref, qu'à force que notre attention soit sollicitée, au-delà de toute mesure, par des messages à caractère publicitaire, nous finissons par ne plus du tout y être réceptifs, qu'ils glissent sur nous sans nous affecter, si blasés que nous sommes devenus. Peut-être est-ce le cas en ce qui concerne les adultes, dans une certaine mesure. Mais, tout parent en a fait l'expérience, les antennes des enfants sont encore hypersensibles pour repérer illico les messages qui leur sont destinés. Je ne compte plus les fois où mon mioche m'a signalé une affiche de film sur un bus ou sur la devanture d'un bar, qui m'avait complétement échappé alors même qu'elle était entrée dans mon champ de vision de manière aussi intrusive que dans le sien. Ainsi en a-t-il été quand nous nous sommes rendus récemment à la formidable librairie La Table des matières.
Au détour d'une rue, le marmot a sursauté : "Oh, je veux voir ça !"
D'Artagnan et les trois mousquetaires, de quoi raviver mes souvenirs de films de cape et d'épée, de Gene Kelly et Stewart Granger, et me donner envie de les lui faire découvrir. Pourquoi ne pas commencer, afin de ne pas me complaire dans mon profil de rétrograde ne jurant que par la "Dernière séance" et autres programmations d'un autre siècle, par ce film d'animation sorti le 25 août, avec le secret espoir que cette version animée ne sera pour lui qu'un avant-goût des versions de l'âge d'or hollywoodien. N'étant pas disponible pour le voir à Paris, ou dans quelques autres grandes villes, durant la période suivante, je suis reconnaissant à l'agence de communication s'occupant de ce film de m'avoir fourni un autre moyen de le visionner ; privilège dont, en tant que critique, je puis profiter, mais dont je n'ai guère abusé jusqu'à présent (préférant voir les films en salles, si possible au milieu d'un public "normal", et non en compagnie de confrères, lors des projections de presse - dont nous pouvons au passage noter qu'elles sont désormais de plus en plus fréquentées par des cinéphiles alimentant non plus les tribunes de la presse "classique", au demeurant de plus en plus rares et réduites à la portion congrue, mais des sites ou des chaînes Internet).
Comme je l'ai expliqué précédemment à plusieurs reprises sur ce blog, je tâche, sans y parvenir systématiquement, d'y signaler (ou à défaut sur ma page Facebook), toutes les productions ou manifestations (films et livres ; expositions) qu'il m'a été donné l'occasion de voir ou d'acquérir par "service de presse" : ceci ne préjuge pas de mon avis sur le film ou le livre en question ; et si jamais je n'ai ensuite pas le temps d'en parler plus abondamment, cela ne veut pas forcément non plus dire que je ne l'aurai pas apprécié (idem pour le kid !).
Vu un lot d'affiches la semaine dernière (provenant du cinéma de Vanves, dans le 92), dans la librairie du Panthéon, la dernière librairie de cinéma à Paris, ou presque.
Très étonné de n'en avoir quasiment pas trouvé une seule vraiment belle ou originale. Le prix étant modique, j'en ai tout de même pris une, celle d'un Tavernier que j'avais beaucoup aimé (c'est rare !), Laissez-passer (cela ferait un bon titre pour un film sur l'époque actuelle, soit dit en passant) :
Toutes les autres affiches valant vraiment le coup avaient dû être raflées par quelqu'un d'autre. Car, intuitivement, on se dit qu'en règle générale, les distributeurs ont intérêt à particulièrement les soigner. Ainsi en est-il pour le film La Loi de Téhéran, que j'ai la chance de pouvoir voir en avant-première, raison pour laquelle je relaie par courtoisie sa bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=bYzBf7zo6RI
Ceci ne préjuge pas de mon avis sur le film ; si jamais je n'ai ensuite pas le temps d'en parler plus abondamment, cela ne voudra pas forcément non plus dire que je ne l'aurai pas apprécié.
Ce "Groupement Européen d'Intérêt Économique" (désigné parfois comme une "chaîne culturelle") veille décidément avec une infinie bienveillance sur les peuples d'Europe :