MA PIERRE À L’ÉPURATION PRONÉE PAR "LIBÉRATION"
Mon quotidien de chevet, celui que j’emporte non sur une île déserte, mais en un lieu où l’on se trouve plus fréquemment tout aussi seul, mène depuis plusieurs mois, sinon plusieurs années, une campagne visant à l’Épuration du Net, plusieurs pages y étant en ce moment consacré pratiquement tous les jours à dénoncer Dieudonné et Alain Soral comme les inspirateurs des pogroms qui « se répandent dans la région parisienne » (Roger Cukierman, cité par Libération le 23 juillet 2014, page 2). Ne pouvant manquer de me situer à la pointe du combat républicain, j’apporte ma contribution à l’analyse du "soralisme" (que Le Figaro fustige de concert avec son confrère Libération) en dénonçant les références cinématographiques pernicieuses du « gourou désaxé » (captures d’écran tirées d’une "Visite chez Alain Soral") :
Les références :
Chat noir, chat blanc, d’Emir Kusturica
La Vague, de Dennis Gensel
Calmos, de Bertrand Blier, dont de nombreuses scènes peuvent être regardées sur le Web
PiXote, d’Hector Babenco
Reefer Madness, d’Andy Fickman
Macadam à deux voies, de Monte Hellman
Les Fruits de la passion, de Shuji Terayama
Ce dernier film passionnant tant l’affreux jojo qu’il l’évoque dans un autre entretien
notamment pour une scène de dialogues entre Klaus Kinski et Arielle Dombasle
Et quelques autres films que je n’ai pas réussi à identifier.