Mister Arkadin

POUR RÉPONDRE AUX INJONCTIONS DE MANU

23 Février 2014, 19:37pm

Publié par Mister Arkadin

Un mot d'ordre a manifestement été donné par le Pouvoir pour que toute la presse parle d'une même voix en ce moment d'Alain Soral. Ne pouvant me montrer moins docile que tous les "grands médias", je m'y plie sans barguiner. Voici donc un relevé des passages où il est question au cinéma dans les Chroniques d'avant-guerre d'Alain Soral (Paris, Éditions Blanche / Kontre-Kulture, octobre 2012, 280 p. ; reprise des chroniques parues dans Flash entre octobre 2008 et mars 2011) : 

http://img.livraddict.com/covers/114/114330/couv24139754.jpg- p.15-16 : « Dans les années 1960/70 où l’intellectuel, qu’il soit sartrien ou aronien, avait son rôle à jouer – et donc son prix – dans la Guerre froide, c’était même le bon temps… Pro-coco : prestige moral et petites pépées (Sartre, Godard…), pro-ricains : grillé auprès des jeunes, mais grassement rétribué par la CIA (Aron, Revel…). »

- p.16 : « […] pour m’affliger un peu plus sur ma condition, je pense aussi aux dissidents de l’autre camp : les fameuses victimes du maccarthysme ! Moi qui écris des livres, comme Alexandre [Soljenitsyne], mais qui ai aussi fait du cinéma, comme Joseph Losey, j’aimerais bien, pour changer de la conférence à Harvard sur "l’erreur de l’Occident", pavoiser aussi au festival de Venise avec mon dernier film tourné à Londres, réclamé par toutes les majors d’Europe sous prétexte que je me suis fait virer d’Hollywood pour sympathies communistes ! Au lieu de ça, dans mon goulag mou, je suis juste tricard dans le métier, aucun producteur ne me prend plus au téléphone et, malgré mon talent reconnu de dialoguiste, personne n’ose même sortir mon film en DVD… Bref, quand je vois la vie qu’on fait ici aux dissidents d’aujourd’hui, je n’hésite pas à dire, tout bien pesé, que face à cet assassinat en douce, je signe tout de suite pour la dissidence officielle soviétique et la liste noire du maccarthysme ! »

- p.18 : « […] je me méfiais de Jean-Paul Sartre, l’idole des étudiantes nunuches d’après-guerre. Sartre qui proposait à son tour, après la Révolution surréaliste passablement éventée, sa nouvelle révolution elle aussi plus révolutionnaire que la vraie : la Révolution existentialiste ! Cette fois, pour tout foutre en l’air, il ne s’agissait plus de dégoiser des poèmes à la con, allongé sur un divan, mais d’écouter du jazz sur un Tepaz, à huit dans une chambre de bonne, tous habillés en noir ! Autre arnaque pour jeunes verbeux fébriles – toujours issus des beaux quartiers – cette fois très bien décrite par le film Les Tricheurs de Marcel Carné (une petite dénonciation anti-jeune qui ne lui sera pas pardonnée par les nouveaux "révolutionnaires" de la Nouvelle Vague)… »

- p.39-40 : « Patrick Bruel a participé plusieurs fois à Paris à des galas de bienfaisance pour le confort du soldat israélien (sic). Confort du soldat israélien sur les corps délicieusement occis au phosphore blanc des Gazaouis ? Patrick Bruel, un moment pressenti, a déclaré qu’il aurait de toute façon refusé de jouer dans le Munich de Steven Spielberg (dangereux cinéaste antisémite), parce qu’il jugeait le film sur le sort réservé aux organisateurs de Septembre noir – tous assassinés par le Mossad – trop complaisant pour les Palestiniens ! »

- p.42 : « Obligé de gouverner avec l’extrême droite [Netanyahou et Libermann]… Pour ce peuple exemplaire, qui a quand même donné au monde des lumières du calibre d’Élie Wiesel, Marek Halter et Claude Lanzmann ces cinquante dernières années, ça ne doit pas être facile. Mais enfin, mettons-nous à leur place, si c’est le prix à payer pour qu’Israël reste la seule démocratie du Moyen-Orient… Mystère ou génie de la dialectique ? »

- p.42-43 : « Décidément, rien ne nous sera épargné. La même semaine, nouvelle attaque contre le pape et sortie de Coco de Gad Elmaleh… Pendant que le énième comique sépharade pas drôle (depuis Boujenah c’est un pléonasme) nous gratifiait d’un long et lourd spot de propagande pour nous faire accepter, à nous cinéphiles élevés aux chefs-d’œuvre de Duvivier et d’Autant-Lara, que le cinéma dit "français" soit désormais le privilège d’une caste réputée pour son élégance et sa culture… notre très saint père, Benoît XVI, subissait un nouveau lynchage médiatique. Le quatrième après le projet de canonisation de Pie XII, la réintroduction dans l’Église des lefebvristes et l’excommunication supposée d’avorteurs brésiliens… Tandis que Gad-le-pas-drôle déshonorait le 7e art de son regard torve et humide (spécialité pied-noir importée en métropole par Enrico Macias) avec la complicité servile des médias, ces mêmes médias, bêtes et vulgaires, s’acharnaient sur le berger d’un milliard des fidèles, sous prétexte que le représentant du Christ sur Terre refuse de se transformer en pourvoyeur de latex pour excités du sexe. »

- p.76 : « Après la division de la gauche par le gauchisme droitsdel’hommo-sociétal (Dany première formule), et avec l’aide du documentaire cucul Home de l’idiot utile Yann Arthus-Bertrand, produit par le très écologiste groupe PPR (Pinault-Printemps-Redoute)… voilà l’écologisme (entendez la haine des paysans et de la France enracinée par les bo-bios des villes…). Soit 16,28 % de mondialistes de gauche au service du mondialisme financier, puisque depuis Al Gore et son tout aussi fumeux Une vérité qui dérange (tu parles !), l’écologie – qui n’était pas grand-chose sous Madame Voynet – est devenue la justification "de gauche" d’un nécessaire gouvernement mondial. »

- p.84 : « […] moins mauvaise nouvelle, un mal pouvant parfois entraîner un bien, nomination au poste du ministre de la Culture de l’élégant et cultivé Frédéric Mitterrand… »

- p.87 : - […] quand le Nègre Dieudonné franchit la ligne jaune, il ne se trouve pas de Cali (Universal Music) ou de Frédéric Lefèvre (UMP) pour le défendre… [comme Orelsan] – Sans commentaire ! La lâcheté du monde du spectacle n’est-elle pas légendaire ? En 40, tous ces veaux beuglants auraient chanté pour les pour les Allemands… sauf deux. Un qui aurait rejoint la Résistance, comme Gabin, l’autre vrai collabo par conviction et pas juste pour la gamelle comme Fernandel, qui aurait fini comme Le Vigan… Deux êtres d’exception au milieu d’une horde de tapins. Quant à savoir si Dieudo est Gabin ou Le Vigan… ça dépendra de la fin du film ! »

- p.102-103 : « Frédéric Taddeï a fait très fort, sans se mouiller, à la Ardisson ancienne époque (la bonne) : il a fait contester par le cinéaste pour ados Matthieu Kassovitz (dit "Casse toi vite", dans les banlieues, depuis son film La Haine) la version officielle du 11 Septembre. Et ce sous les regards consternés du sous-Soljenitsyne albanais – et agent de la CIA – Ismaël Kadaré, de l’écrivaine féministe (ô combien vaine à l’écrit) Hélène Cixous et du producteur "de gauche", néoconservateur et sarkozyste, Marin Karmitz. Un Marin Karmitz qui, parlant sans doute au nom de la communauté, n’a pas hésité à expliquer à son jeune coreligionnaire naïf, et cela devant des millions de spectateurs, que contester la version officielle du 11 Septembre revenait à contester l’existence des chambres à gaz ! Kassovitz, lui, n’a pas du tout vu le rapport. D’autres si ! Merci Marin Karmitz ! »

- p.120 : « Par le rire, l’art de masse finit toujours par nous faire accepter une réalité tragique. Ainsi dans les années 1960, l’invention géniale du personnage de Louis de Funès – rompant avec la vieille France rurale du comique troupier Fernandel et de l’idiot du village Bourvil – poursuivait ce même but : nous faire accepter la nouvelle figure foncièrement minable de l’employé de bureau – lèche-bottes avec ses supérieurs, odieux avec ses subordonnés – mais si nécessaire à la nouvelle France des cadres et des PDG. »

- p.121 : « Dans les années 2000, le rôle d’une Bridget Jones est identique : passer un peu de baume narcissique sur cette nouvelle figure « psychologico-économique » ô combien nécessaire au système : l’employée de bureau hyperactive au bord de l’hystérie. Femme libérée par le travail des charges traditionnelles qui pesaient sur elle : mari, enfant, foyer, pour tomber dans le stakhanovisme (abrutie de travail) et la consommation (d’objets transitionnels), afin de supporter sa solitude extrême. »

- p.151 : « BHL […] cinéaste nul »

- p.153 : « Bosnia ! (1993) Contenu objectif : Sarajevo = cosmopolitisme, donc Bosnie = gentils et Serbes = méchants. Point. Au même moment, ses deux comparses Finkielkraut et Glucksmann prendront parti, l’un pour les gentils Croates d’Ante Pavelic, l’autre pour les gentils Tchétchènes islamistes. Trois partis pris parfaitement contraires à leur supposée éthique lévinassienne, mais trouvant, comme chaque fois, toute leur cohérence dans la géopolitique de l’Empire… »

- p.155/200/231 : « […] le séditieux Jamel Debbouze – l’ex-grand copain de Dieudonné passé depuis à Mohamed VI, autrement plus rentable – nous rappelle, sur le ton menaçant de l’érudit islamiste, que « les musulmans sont présents en Europe depuis 3 000 ans ! » (à une époque où, nous le rappelle aussi Meyer Habib, Paris n’était qu’un marécage). » / « Ayant beaucoup ramé dans le bas music-hall afin d’accéder aux sunlights : animation de comités d’entreprise, Club Med, café-théâtre… le comique vit dans la terreur de redescendre. D’où l’incommensurable lâcheté d’un Smaïn – le Beur de service, aujourd’hui remplacé par Jamel Debbouze – prenant le "parti d’en rire" (sic) quand on l’interrogeait sur la ratonnade de la Guerre du Golfe (sans doute pour ne pas froisser les organisateurs de spectacles, traditionnellement peu acquis à la cause arabe). Quant au prétendu engagement de certains, compte tenu des liens étroits qui unissent monde de l’argent, politique et médias, soyez sûrs que s’ils étaient vraiment subversifs, ils seraient passés à la trappe (cf. Dieudonné) » / « […] Jamel et Alévêque, trahissant Dieudonné… »

- p.185 / 203 / 209 : « […] là où le métissage imposé est déjà le plus violent et la crise sociale et urbaine la plus aiguë : en banlieue. Une situation qui donne au récent film aux neufs Césars Une prophète une drôle de résonance, puisque cette fiction réalisée par le fils d’Audiard (un Audiard inverti fasciné, lui l’Occidental fils à papa à la virilité perdue, par la virilité de la racaille ethnique) nous propose une belle apologie de la délinquance organisée tournant franchement, dans son épilogue, à la promesse de revanche et de domination ethnico-religieuse… À se demander si tous nos bobos cinéphiles qui se sont pâmés sur son antiracisme ont bien compris le message ! » / « Nouvelle racaille chariatisée à la mode américaine – encensée dans le film français ethnomasochiste aux 8 Césars de l’homosexuel Jacques Audiard Un prophète, tout un symbole – en train de passer sous nos yeux, pour les plus durs, de la petite délinquance au grand banditisme surarmé, ne rêvant que de bouffer du Gaulois tapette et du flic SS (merci Mai 68) ! » / « […] cette nouvelle génération de paumés, issus des ghettos de la relégation et d’un déclassement chaque jour aggravé par la crise mondiale, porteurs d’une idéologie délinquante américaine libérale, prolongeant désormais dans un salafisme bricolé et superficiel – type Un prophète de l’ancien animateur de superette rêvant d’Hollywood : Abdel Raouf Dafri – leur haine revancharde d’une France coloniale qui ne l’a jamais été de son vivant. Une haine confuse et épaisse, issue en droite ligne du rap anti-gaulois – fort peu islamique – mais étrangement promu depuis vingt ans comme "culture jeune" par les médias ; ces mêmes médias sous domination d’une communauté récemment nommée par le cinéaste américain Oliver Stone… »

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- p.186 / 254 : « […] BHL et son fidèle Yann Moix s’insurgent, à coups de billet d’humeur et de pamphlet dans nos médias majoritaires, qu’on ose s’en prendre au génie Polanski, adepte, comme un certain monsieur Gutman (pourtant ni catholique ni ecclésiastique, mais pédophile membre du CRIF et de l’UMP !) de l’abus sexuel sur mineur ; sous prétexte qu’il aurait violé impunément il y a quelques années une fillette de treize ans qui en faisait seize ! Ce qui est quand même bien moins grave que d’oser porter secours aux assiégés de Gaza ! » / « […] Monsieur Maurice Gutman, membre éminent du Consistoire israélite, récemment condamné à deux mois de prison avec sursis pour avoir proposé à une fillette de douze ans de « lui apprendre à faire l’amour sans lui faire de mal » (dixit le rapport de police !) selon fameuse méthode déposée Polanski. »

- p.190 : « Avec la fiction du coton haïtien qui aurait fait la fortune de la France [thèse de Noam Chomsky] – et la mienne par conséquent – question histoire, on descend au n niveau de Michael Moore, l’humour en moins. »

- p.201 : « Parce qu’il ne dépasse jamais le genre mineur du sketch, le comique fait de mauvais films (cf. les ratages de Coluche qui ne fut bon que dans un rôle triste, les films nuls des Nuls, etc.), la succession de gags tant à la comédie burlesque ce que la compilation de recettes de cuisine est au roman. » / « Les Monthy Python (humour anglais décalé années 1970), les Nuls (humour pipi-caca branché années 1980), drôles sur le moment, le sont beaucoup moins lorsqu’on visionne leurs trucs après quelques années. Et plus c’était branché à l’époque, plus ça a mal vieilli (axiome à vérifier bientôt avec Jamel Debbouze ou Titof). Justice sociale immanente ? Sur la durée c’est encore le comique populaire qui s’en sort le mieux (cf. Les Inconnus, Jean-Marie Bigard…) puisqu’il est encore possible de sourire aujourd’hui à un sketch de Fernand Raynaud. Devenu ringard, le vieux comique finit en plus par se prendre au sérieux (cf. Bruno Gaccio passé en moins de dix ans d’une critique à l’acide de la World Company au pur catéchisme PS). Singeant le philosophe (cf. Jean Yanne sans doute poussé par son éditeur) ou l’artiste (Woody Allen en mauvais jazzman). N’importe quoi, en somme, plutôt que de lâcher la rampe et fermer sa gueule ! »

- p.220 : « Vulgarisateur de l’œuvre de Sigmund Freud aux USA (donc responsable aussi des insupportables pochades psychologico-narcissiques d’un Woody Allen), ce fervent adepte de « la psychologie de l’inconscient » [Edward Bernays] peut revendiquer, entre autres méfaits d’armes, la campagne de manipulation dite « Commission Creel » qui, en 1917, poussa le peuple américain dans la Première Guerre mondiale, et celle qui, manipulant l’imbécilité féministe, soumettra, sous le nom de « torches de la liberté », les femmes américaines au marché de la cigarette et au cancer du fumeur ! »

- p.221 (« La multiplication des montages pour cacher les affaires ») : « Que ce soit Al-Qaïda Maghreb incorporated, sorte de SMERSH islamiste, d’un niveau de sérieux digne de James Bond contre docteur No, menaçant à nouveau le monde libre et la France le jour anniversaire des attentats du 11 Septembre pour cacher aux masses abruties ses véritables commanditaires, à chercher probablement du côté de ses bénéficiaires… »

- p.250 : « Le Nom des gens. Film de Michel Leclerc, sorti en salle le 24 novembre 2010, avec Gamblin dans le rôle du juif laïque et Sara Forestier dans celui de la maghrébine hystérique, pour sa gestion habile de l’effet Dieudonné, et du rapport très chatouilleux à la persécution du fameux lobby qui n’existe pas ! »

- p.252 : « […] un truc un peu léger et gai : Gonzo, cet excellent documentaire racontant la vie tourmentée d’Hunter S. Thompson, sorte de professeur Choron américain, inventaire du « nouveau journalisme » et incarnation de la liberté, de la gaieté, de la fraîcheur et du talent des années 1960, dont on peut légitimement avoir la nostalgie quand on les compare à notre époque de merde ! »

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VINCENT S'EN VA-T-EN GUERRE ?

22 Février 2014, 19:17pm

Publié par Mister Arkadin

J'apprends dans le programme de la Cinémathèque française qu'y sera projeté le 9 avril prochain Johnny Got his Gun, de Donald Trumbo.

Ne serait-ce pas une bonne idée d'y convier tous ceux qui sont si pressés de faire passer "dignement" de vie à trépas le tétraplégique Vincent Lambert, à commencer par le docteur Kariger ? Ou de projeter le film au Conseil d'État ?

http://farm3.staticflickr.com/2833/12725995854_a408421e78_o.jpg 


Complément (26 février 2014) : Pour ceux qui ne pourraient se déplacer à la Cinémathèque, le film est rediffusé sur Arte le 5 mars 2014 à 2h, après un premier passage le 24 février.

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LJC DU 20 FÉVRIER 2014 : ANTOINE DE BAECQUE

16 Février 2014, 21:31pm

Publié par Mister Arkadin

L’invité du "Libre journal du Cinéma" (LJC) du jeudi 20 février 2014, dirigé par Philippe d’Hugues, assisté par Philippe Ariotti et auquel je participerai sans doute, est Antoine de Baecque (critique et historien du cinéma), pour la biographie d’Éric Rohmer qu’il a publié en janvier 2014 avec Noël Herpe (Éditions Stock).

http://www.fabula.org/actualites/documents/60981.gif

Sera ensuite évoquée l’actualité, en particulier des films sortis en salle, des disparitions, des publications et des manifestations cinématographiques diverses.


Informations complémentaires :

Horaires de diffusion du LJC, sur Radio Courtoisie : de 12 heures à 13 heures 30 – Rediffusions de 16 heures à 17 heures 30 et la nuit suivante, de 0 heure à 1 heure 30.

Des messages peuvent être adressés à la station en cours d’émission (courtoisie@radiocourtoisie.fr ; 01.46.51.00.85).

Radio Courtoisie en modulation de fréquence (MHz) :
Paris et Ile-de-France, 95,6 | Caen, 100,6 | Chartres, 104,5 | Cherbourg, 87,8 | Le Havre 101,1 | Le Mans, 98,8.

Par satellite :
Sur les bouquets satellite Canalsat (canal 199 pour la mosaïque des radios et canal 641 pour l'accès direct à Radio Courtoisie) et TNTSAT.


http://www.cooperation-online.ch/site/presse-cooperation/get/9742756/Antoine2.jpg

 

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ÉCHO DE CRISTAL

10 Février 2014, 00:47am

Publié par Mister Arkadin

 

Suite à de nouveaux bris de cristal découverts cette nuit, je reprends ci-dessous, par solidarité envers toute victime d'autodafé, un écho, relatif au cinéma, publié dans le dernier numéro de la revue d'Emmanuel Ratier, libraire dont la boutique a une nouvelle fois été vandalisée. [cliquer sur l'image pour l'agrandir et la voir en entier]

http://farm8.staticflickr.com/7385/12421774054_a4a9929d58_b.jpg


PS : voir parallèlement comment Éric Zemmour a dû se justifier très récemment de picorer ses informations à des sources très diverses, dont E&R. Car il n'est plus admis qu'un journaliste ne s'abreuve pas qu'aux sources officielles.

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